Un jour avec Carl

J’ai fais une formation ’pilote de chasse’ pour en apprendre un peu plus sur le fonctionnement d’un avion, et notamment effectuer un baptême en avion à réaction. Ce stage a été fait pour pouvoir embarquer sur le Lockheed Starfighter à très haute altitude. J’ai de temps en temps espéré réaliser un vol unique au monde, et lorsque cette opportunité s’est présentée, j’ai tout de suite accepté, en dépit du prix. En plus de le vol qui est unique, j’ai apprécié aussi en apprendre plus sur la mécanique de l’avion à réaction, notamment sur les réacteurs. Dès grandes vitesses- aux environs des 730 km à l'heure -, le rendement des turbines à pistons classiques diminue rapidement. Afin d’arriver et surpasser la vitesse du son, on est passé aux propulseurs à réaction, dont le fondement est comme celui de la fusée. N’ayant plus de pistons ni de bielles en balancement oscillant, de tels turbines, de la sorte opérationnellement simplifiés, permettent de maximiser considérablement la poussée que fabrique la forte éjection des dégagements de gaz brûlés et, sortant, la vitesse; les ébranlements sont également de surcroît chassées. Il en existe plusieurs types. Les turbo réacteurs sont composés d'un compresseur, d'une petite chambre de combustion (où l’oxygène aspiré par le moteur consume le combustible et d’un turbo moteur à gaz. L'hélice est utilisée dans le turbo propulseur, pareil qu’ au turboréacteur, mais dans lequel le propulseur entraîne, en addition du compresseur, une hélice propulsive. Alors, la réponse immédiate par les gaz refoulés ne donne qu'un faible ajout de énergie à la poussée que donne l'hélice. Le statoréacteur ne comporte pas d’ composant instable. Il ne détient logiquement aucun compresseur. Avec cette carence, le débit d’oxygène est proportionnel à la célérité de vol et, le débit, et ainsi la pression, sont à zéro d'où l’exigence de pourvoir de fait l’aéronef d'un propulseur additionnel pour le take-off et l'atterrissage, ce qui a entrainé à la formule du post combustion. Un vol en avion de chasse est une opportunité merveilleuse à décrire à vos proches, qui pourront profiter de vos photos prises durant ce baptême magique. Pour tous ceux que cela intéresse, allez sur baptême en avion de chasse.

Je me suis fait plaisir en suivant un cours de cuisine. Je voulais non pas apprendre de nouvelles techniques, mais en apprendre plus sur certains produits, notamment rares. Et pour ce faire, j’ai choisi un cours de cuisine à Nice, une immersion totale en brigade, pendant une journée, pendant laquelle on partage toute l’expérience avec l’équipe du chef. Et je n’ai pas été déçu puisque j’ai découvert des produits magnifiques, dont un que je ne connaissais pas : l’huitre végétale. C'est au milieu des années 1930 que l°huître végétale a bien « failli disparaître pour toujours. Appréciée des touristes qui l'employaient comme plante d'ornement, elle fut tellement cueillie, qu'il ne restait, sur ses « sables » d'origine, que très peu de plants. Il a alors fallu la persévérance et la pugnacité d'un homme, Hugues Le Cieux, pépiniériste à Biganos, dans le Bassin d'Arcachon, qui, en 2007, est parvenu à relancer la culture de cette plante. Car la feuille d'huître ne se laisse pas si facilement apprivoiser. Une fois les graines récoltées après la floraison, il faut réussir la germination et cette étape n'est pas la plus simple. Une fois repiqués, les jeunes plants sont capricieux et le taux d'échec est assez important. Il est donc primordial d'apporter à la plante, soin et attention pour l'amener à se développer parfaitement. Une fois replantée, la plante, si elle est à l'aise dans son mélange de sable et de terreau, et si elle est très bien drainée, peut produire jusqu’à 200 feuilles par an à son heureux propriétaire. Et ce sont ces feuilles qui sont aujourd’hui très prisées des grands chefs cuisiniers pour leur saveur iodée qui rappelle celle de l'huître, d'où son nom. Expédiées en barquette aux professionnels, ces feuilles vertes sont associées à des légumes, des poissons ou des crustacés pour leur apporter cette petite touche d'iode supplémentaire. Ou bien encore dans un simple beurre d'huître que l’on tartinera sur du pain toasté. À noter que l'on ne consomme ces feuilles que crues, car, cuites, elles perdent énormément de leurs arômes. Passionnante en cuisine, mais toujours autant appréciée comme plante d'ornement, cette huître végétale du Bassin d'Arcachon est vendue au grand public, sur place ou sur le Web, en barquette de 50 feuilles ou en pot. Avec 5000 plants par an, Hugues Le Cieux, est encore, actuellement, le seul à produire de l'huître végétale en milieu naturel, en Europe. Seul un autre producteur, aux Pays-Bas, en produit également, mais, lui, sous serres. Si cela vous intéresse, je vous donne le lien vers le cours de cuisine à Nice que j’ai suivi, et qui était excellent.

Je ne connaissais Le Crotoy que comme une bonne vanne dans un film à dialogue d’Audiard. Et cela ne donnait que moyennement envie d’y aller. Alors que l’entreprise est partie en séminaire au Crotoy, je me suis bien demandé comment j’allais pouvoir essayer d’y échapper. Comme je n’ai rien trouvé, j’ai du y aller. Et j’ai plutôt été séduit par le bled. Dès l’arrivée sur la baie de Somme, les deux tourelles du désormais incontournable hôtel du même nom guident sans soucis vos roues vers le village du Crotoy. Village de pêcheurs aux maisons basses entre lesquelles se sont glissés de magnifiques châtelets pour contenter, en leur temps, les célébrités. Ainsi « la plus au sud des plages du Nord » séduisit Guerlain, Colette, Jules Verne, Manessier ou Seurat... bien avant de nous séduire à nouveau. L’accès rapide à la station facilité par l’autoroute draine aujourd’hui une clientèle parisienne, nordiste et... belge. Le charme du lieu a ainsi conquis une brassée d’amis-investisseurs du plat pays qui, en échange de nuitées prioritaires, ont fait des Tourelles un hôtel aux qualificatifs évidents : douillet, convivial, familial. Inutile donc de vous répéter que les réservations se font six mois à l'avance. Si vous ne parvenez pas à y dormir, réservez une belle tablée au restaurant ou immiscez-vous au bar pour un the et tarte maison ou à l’occasion d’un vernissage local, pour goûter modestement aux plaisirs du lieu. Optez alors pour les chambres de La Villa Marine, subtile voisine des Tourelles, ou alors pour un simili-homonyme : les chambres d’hôtes du Thurel, une gentilhommière de grand charme sise dans l’arrière-pays. Depuis ce pied-à-terre, envisagez une escapade oisive dans le parc du Marquenterre et profitez du Crotoy sous l’angle de l’authenticité picarde et du point de vue unique sur les lumières de la baie de Somme, avec à la clef ficelle picarde, agneau des prés salés et salicornes. Allez ensuite au Café du Port, pour son décorum et son assiette de la mer, ou Chez Mado, pour sa table gastronomique et en novembre, pour sa kermesse aux poissons. Sans doute que ce séminaire et la découverte de la ville s’est bien passé notamment grâce à la très bonne organisation de l’agence organisatrice (Agence Séminaire – je vous laisse le lien si cela vous intéresse), mais surtout, c’est le charme de cette petite ville qui vaut vraiment la peine d’être découverte.

J’ai du mal a y croire, mais une mère a essayé de passer le Bac à la place de sa fille. A l’entrée du lycée privé Bossuet-Notre-Dame dans lequel sa fille n’est pas scolarisée, personne ne remarque cette femme de 52 ans qui se fond dans la masse des candidats. Des adultes qui passent le bac, cela ne surprend plus personne aujourd’hui. Elle est convaincue qu’elle va passer inaperçue jusqu’au bout. Pour cela, elle s’est déguisée en ado : des baskets, un jean taille basse et un maquillage soignée. La mère de famille va directement dans la salle d’examens. Elle s’assoit à la place de sa fille comme si de rien n’était, sort ses stylos et se prépare à plancher pendant trois heures. La femme de 52 ans essayait de remplacer sa fille pour une épreuve écrite d'anglais. Elle a été repérée par une surveillante qui connaissait le visage de la lycéenne pour l'avoir déjà surveillée lors de l'épreuve de philosophie lundi. Elle s'est vite rendu compte que ce n'était pas la même. La candidate est censée avoir 19 ans or elle est très clairement plus âgée : 33 ans de plus très exactement. Quatre policiers viennent cueillir la mère à la sortie de la salle pour ne pas perturber le déroulé de l’examen et risquer une annulation nationale de l’épreuve. Malgré ses 52 ans, l’usurpatrice commence par affirmer n’en avoir que 19. Puis elle change de version et prétend avoir remplacé sa fille malade. Reste que cette grossière tentative de fraude pourrait coûter cher : la vraie candidate risque une interdiction de passer le bac pendant cinq ans et elle encourt, comme sa mère, des sanctions pénales. C’est quand même un peu con tout cela, surtout que cela n’est que pour le bac. J’aime aussi le sens des responsabilités de la mère qui est train de donner une superbe leçon à sa fille sur ce qu’il faut faire et ne pas faire. A lire également dans le Nouvel Obs.

Le salon du Bourget qui se tient en se moment vient de présenter un superbe concept pour éviter d’avoir peur de l’avion. Beaucoup ont peur en avion étant donné qu’elles ne comprennent pas comment un avion de divers centaines de tonnes peut opérer dans le ciel sans se crasher. Il est fondamental d’évoquer divers préceptes aérodynamiques afin de vous éclaircir sur comment fonctionne un aéroplane. La première règle aérodynamique est la portance. De fait portance est une loi première, que l’on retrouve autant sur l’aéroplane que chez les volatiles. Au fur et à mesure que l’aéroplane accroit sa vitesse, l’air circule au dessus, et sous l’aile. L’air qui navigue sur l’aile est plus véloce que celle défilant sous celle-ci, réalisant ainsi une caractéristique de portance. L’effet est que l’aéroplane est ainsi aspiré vers le haut. L’air navigue plus dynamiquement sur l’aile du à son allure légèrement arrondie. La sustentation qui aspire l’avion vers les airs, s’oppose à la masse de l’aéroplane qui le l’entraine vers la terre. Ainsi plus la rapidité est élevée – plus précisément plus la amplitude de rapidité est forte, plus la portance est forte, maintenant l’aéroplane dans les cieux. Les turbines sont en conséquence clefs, puisque ce sont les turbines qui permettent de faire aller l’avion et de générer ce précepte de sustentation. Un autre facteur de peur courante est celle de croire que si les turbines font défaut, l’aéroplane s’écrasera vers le sol. Il s’agit d’une hypothèse plutôt exceptionnelle, mais si l’aéroplane ne dispose plus d’un moteur ; singulièrement à cause d’un incendie moteur, le propulseur sera clos par le pilote, et l’avion pourra poursuivre sa route avec une seule turbine, qui est largement suffisant pour maintenir l’avion en vol. Dans l’hypothèse encore plus rarissime dans laquelle les deux turbines s’arrêtent, l’aéroplane, à cause de son aérodynamisme et au phénomène de portance, pourra planer pendant vingt cinq minutes à peu près sur une longueur de 200Km, ce qui est largement satisfaisant pour trouver un lieu pour atterrir. Sur les gros aéroplanes qui bénéficient de 4 turbines, il est extraordinaire que toutes les turbines tombent en panne en même temps. Finalement, les ailes. Quelques voyageurs se tracassent de voir la voilure s’incurver, notamment dans le cas de trous d’air. Les ailes sont produites pour s’arrondir. Pour en savoir plus : http://www.simulateurdevol.fr/

Un séminaire à Barcelone, c’est toujours un peu comme une bonne excuse de faire la fête. Et pourtant, cela a aussi été l’occasion de profiter de ce temps entre collègues pour découvrir une superbe ville, que je ne connaissais pas. Et surprise, j’ai adoré le Palais Guell. Peu d'architectes laissèrent autant leur empreinte dans une ville qu'Antoni Gaudi i Cornet. Les édifices et innovations architecturales extraordinaires de ce Catalan transformèrent Barcelone, capitale de la Catalogne. Le Palau – palais - est un splendide hôtel particulier conçu pour Eusebi Güell, riche industriel devenu son principal mécène. La famille de ce dernier possédait la propriété adjacente et, pendant un temps, les deux édifices furent rassemblés. Le palais commença à être bâti en 1885 et fut quasi terminé en 1888, devenant l'un des joyaux de l'Exposition internationale. Les derniers ornements furent ajoutés l'année suivante. La majeure partie des matériaux de construction furent extraits des carrières de Güell, près de Garraf. Bien que le palais soit l'un des premiers travaux de Gaudi, il est déjà caractéristique du style de l'architecte. L’entrée est constituée par deux arcs paraboliques, l'un des deux supportant une rampe menant jusqu'aux écuries. Les éléments en fer forgé sont à l'honneur, notamment entre les arcs, ou ils dessinent une version stylisée de l'écusson catalan. L'intérieur rappelle l'architecture ecclésiastique. L’élément le plus typique se trouve sur le toit. Gaudi y a placé 20 cheminées, toutes différentes, ressemblant plus à des sculptures qu'à des structures fonctionnelles. Tels des sapins chétifs polychromes, la plupart sont décorées de trencadis, fragments de céramique colorée devenus la marque de fabrique de Gaudi. Güell vécut dans le palais jusqu'en 1906, avant de s'installer dans une autre création de l'architecte, le parc Güell. L’édifice resta la propriété de sa famille jusqu’en 1945, puis fut acquis par les autorités municipales. Un musée du théâtre y a été installé. Le palais été fermé au public en 2005 afin d'être restauré. Si voulez faire le même circuit, je vous renvoi sur l’agence qui nous a concocté ce séminaire à Barcelone.

J’ai découvert une expérience incroyable : le baptême en avion de chasse. J’ai du voir cela à la télé ou dans un magazine, et j’ai été bluffé de constater que l’on pouvait faire un vol sur un avion de chasse. En réalité il s’agit d’avions d’entrainement, mais les sensations sont belles et biens présentes. Vu sur Tematis, le spécialiste de l’expérience à vivre, la possibilité de baptême en Fouga Magister, l’ancien avion de la patrouille de France. Cet avion unique est instantanément reconnaissable grâce à sa queue en V est l'ex-avion de la Patrouille de France. C’est un avion très agile sur lequel de très nombreux pilotes de chasse passent pour leur formation. On devrait dire passaient, puisqu’ils volent maintenant sur Alphajets. Avec ses deux moteurs, le Fouga Magister est sécurisant, sa large verrière offre une vue imprenable, et sa facilité de pilotage en fait l'un des avions de chasse préférés des pilotes. Décollez depuis Beauvais. Vous évoluerez vers la baie de Somme. Bénéficiez de l'agilité extrême du Fouga Magister. Evolutions, tonneaux, loops... vous ressentirez ce que vivent les pilotes de chasse. Le pilote vole en fonction de votre tolérance aux G, et vous serez en communication constante avec lui pour échanger pendant le vol. Mieux, si vous êtes pilote, vous pourrez apprendre à faire de la voltige ou des manœuvres et c’est vous qui serez aux commandes. Apprenez les techniques de voltige en avion de chasse. Cet apprentissage réalisée sur Fouga Magister est réservée aux titulaires d'une licence de pilote. Vous serez coaché par d'anciens pilotes de l'armée de l'air française dont certains sont passés par la Patrouille de France. Développez votre talent de pilote et apprenez à maîtriser le Fouga Magister et à effectuer des manœuvres de voltige : barrel roll, loops et cuban eight et autres manœuvres. Votre session d'apprentissage de la voltige en avion de chasse se décompose en deux ½ heures. Prenez les commandes la première demi-heure du vol. Le pilote mesurera votre aptitude au pilotage de l'avion en effectuant des manœuvres simples. Ce temps vous permet de vous familiariser avec l'environnement de pilotage de l'avion, et de mesurer les réactions du Fouga Magister à vos impulsions. La seconde demi heure est destinée à apprendre quelques évolutions et manœuvres de voltige simple, tels que tonneaux et loops. Le pilote vous guidera et vous conseillera tout au long de l'apprentissage. Qui a dit que l’on ne savait pas s’amuser en France ? Pour tous ceux que cela intéresse, je vous renvoi sur le site de Tematis dans la catégorie vol en avion de chasse.

Après le Mali et l’Algérie, c’est donc au tour du Cameroun de verser dans la prise d’otages. Cette région toute proche du Tchad fait partie des endroits dangereux, et l’on peut maintenant se poser la question de la sécurité des français un peu partout en Afrique Noire. Les messages du président Hollande et son intervention au Mali ont donc fait mouche… Décidemment notre président « grosse blague » arrive à maintenir de l’autorité jusqu’en Afrique. C’est tellement pitoyable. Malheureusement, ce sont des français travaillant pour le groupe GDF Suez qui sont cette fois en première ligne. Le président et sa clique, tous incapables de gérer la situation risquent bien d’envenimer les choses et la tournure des évènements. Voici ce que l’on en lit dans la presse : Le groupe GDF Suez a confirmé mardi 19 février "l'enlèvement d'un de ses collaborateurs avec sa famille", qui étaient expatriés au Cameroun et alors qu'ils se trouvaient en vacances dans le nord du pays, à la frontière du Nigeria. Il s'agirait de sept Français d'une "même famille", trois adultes et quatre enfants. "C'est le fait d'un groupe terroriste que nous connaissons" au Nigeria, a affirmé François Hollande, citant la secte islamiste Boko Haram, active "dans cette partie-là du Cameroun". Selon une source locale citée par l'AFP, ces touristes ont été capturés "par des hommes, manifestement à moto, dans la localité camerounaise de Dadanga, à la frontière du Nigeria". "La plus grande probabilité, c'est qu'ils soient emmenés au Nigeria. Donc nous faisons tout pour éviter qu'ils soient retenus dans ce pays", a fait savoir M. Hollande depuis la Grèce, où il est en déplacement. Selon les premiers éléments recueillis sur place, les touristes enlevés "rentraient du parc naturel de Waza". Une source anonyme au parc de Waza confirme que"les touristes étaient allés visiter le parc hier, ils ont dormi au campement touristique du parc, d'où ils sont partis ce matin". Selon des informations du Parisien.fr, il s'agirait d'une famille de deux adultes et de quatre enfants âgés de 4, 7, 9, et 11 ans. La famille était accompagnée d'un ami du couple. GDF Suez, où travaille le père de la famille, a souhaité "exprimer son émotion et témoigner toute sa solidarité aux personnes concernées". Le groupe français développe un projet de liquéfaction de gaz naturel dans le sud du pays. C'est la première fois que des touristes occidentaux sont enlevés au Cameroun, même si des prises d'otages ont régulièrement lieu au large des côtes camerounaises – la dernière en date était le 8 février. Huit otages français sont actuellement détenus en Afrique par des groupes islamistes. A lire dans Le Monde.