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Un jour avec Carl
20 juin 2013

Simulation de vol pour vaincre sa peur

Le salon du Bourget qui se tient en se moment vient de présenter un superbe concept pour éviter d’avoir peur de l’avion. Beaucoup ont peur en avion étant donné qu’elles ne comprennent pas comment un avion de divers centaines de tonnes peut opérer dans le ciel sans se crasher. Il est fondamental d’évoquer divers préceptes aérodynamiques afin de vous éclaircir sur comment fonctionne un aéroplane. La première règle aérodynamique est la portance. De fait portance est une loi première, que l’on retrouve autant sur l’aéroplane que chez les volatiles. Au fur et à mesure que l’aéroplane accroit sa vitesse, l’air circule au dessus, et sous l’aile. L’air qui navigue sur l’aile est plus véloce que celle défilant sous celle-ci, réalisant ainsi une caractéristique de portance. L’effet est que l’aéroplane est ainsi aspiré vers le haut. L’air navigue plus dynamiquement sur l’aile du à son allure légèrement arrondie. La sustentation qui aspire l’avion vers les airs, s’oppose à la masse de l’aéroplane qui le l’entraine vers la terre. Ainsi plus la rapidité est élevée – plus précisément plus la amplitude de rapidité est forte, plus la portance est forte, maintenant l’aéroplane dans les cieux. Les turbines sont en conséquence clefs, puisque ce sont les turbines qui permettent de faire aller l’avion et de générer ce précepte de sustentation. Un autre facteur de peur courante est celle de croire que si les turbines font défaut, l’aéroplane s’écrasera vers le sol. Il s’agit d’une hypothèse plutôt exceptionnelle, mais si l’aéroplane ne dispose plus d’un moteur ; singulièrement à cause d’un incendie moteur, le propulseur sera clos par le pilote, et l’avion pourra poursuivre sa route avec une seule turbine, qui est largement suffisant pour maintenir l’avion en vol. Dans l’hypothèse encore plus rarissime dans laquelle les deux turbines s’arrêtent, l’aéroplane, à cause de son aérodynamisme et au phénomène de portance, pourra planer pendant vingt cinq minutes à peu près sur une longueur de 200Km, ce qui est largement satisfaisant pour trouver un lieu pour atterrir. Sur les gros aéroplanes qui bénéficient de 4 turbines, il est extraordinaire que toutes les turbines tombent en panne en même temps. Finalement, les ailes. Quelques voyageurs se tracassent de voir la voilure s’incurver, notamment dans le cas de trous d’air. Les ailes sont produites pour s’arrondir. Pour en savoir plus : http://www.simulateurdevol.fr/

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  • Un jour avec Carl, c'est un peu comme un carnet de bord, de mes aventures, de mes passions et de mes réflexions sur le monde qui m'entoure et sur l'actualité. Bienvenue, j'espère que vous aimerez.
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